Quand les habitants rencontrent les problèmes suivants, nous soupçonnons fortement un impact de la maison. Et ce d’autant plus si ces difficultés se déclarent ou s’accentuent quelques temps après l’installation dans les lieux et qu’elles s’estompent lors de séjours dans un autre lieu :
- troubles du sommeil
- dépression, angoisses, stagnation dans les projets
- problème de fertilité, de croissance
- énurésie
- allergies
- autres maladies auto-immunes
- douleurs articulaires
- troubles thyroïdiens, diabète
- problèmes circulatoires, cardiaques, AVC
- …
Bien sûr, une étude épidémiologique serait très intéressante pour confirmer nos observations, pour savoir si ces troubles (en constante augmentation) sont effectivement plus fréquents dans les maisons perturbées. Il est cependant certain qu’un individu qui présente des prédispositions (génétiques …) aura plus de risque de développer une maladie (cancers …) dans une maison exposée aux nuisances. En effet, son organisme devant lutter contre l’impact de son environnement aura moins de forces pour traiter ses problèmes internes, pour aller vers la bonne santé.
L’environnement est un des facteurs pouvant déclencher et aggraver une maladie.
En complément d’une prise en charge médicale, il est important de considérer (et de traiter) le logement, mais aussi le lieu de travail, surtout dans les cas récalcitrants.
Dans les élevage où nous sommes appelés, nous observons souvent les pathologies ci-dessous :
Le début de ces problèmes coïncide généralement avec l’installation dans les alentours d’un parc éolien, d’un émetteur, d’une installation photovoltaïque, d’un silo, d’un forage … ou de nouveaux équipements dans les bâtiments (caméra surveillance vêlages, détecteur de chaleur, distributeur automatique de concentrés …)
– en élevage laitier : mammites, taux élevé de leucocytes dans le lait, baisse de la production, baisse de la fécondité, non délivrance placentaire, problèmes d’aplombs, difficultés de circulation en salle de traite …
– chez les veaux : dartres, anémie grave et autres fuites de minéraux, diarrhées, mortalité importante …
– en élevage porcin : agressivité, cannibalisme, mises bas difficiles, prise de poids ralentie, mortalité importante …
– en élevage de volaille : agressivité, absence de coquille autour des œufs …
– en général dans les élevages : baisse de l’immunité, retards de croissance …
Nous constatons souvent une amélioration de la situation sur ces différents points lorsque nous rétablissons l’équilibre du lieu.
L’observation de la végétation peut permettre, par endroit, d’avoir des indications sur les anomalies du sous-sol.
Il est bien connu que les arbres tordus, fourchus, vrillés, chétifs ou présentant des excroissances indiquent généralement qu’il ne fait pas bon vivre là.
Nous vérifions souvent la corrélation entre l’aspect de ces malformations et les zones que nous détectons perturbées.
Nous retrouvons fréquemment, sur les cartes géologiques, la présence d’une faille sous l’emplacement de bouleaux présentant des “balais de sorcières” (Robert ENDROS le signalait déjà en 1978). Les pommiers sont aussi particulièrement sensibles aux phénomènes telluriques.
Une importante différence de croissance entre deux individus (plants de légumes – arbres …) plantés le même jour, côte à côte, peut aussi révéler des anomalies de champs informationnels au niveau du sol.
Ce phénomène est très visible dans une haie constituée de nombreux spécimens d’une même espèce. On repère facilement un arbuste plus chétif, au feuillage plus clair ou clairsemé. Il est fort probable alors qu’il vous désigne l’emplacement d’une zone de nuisance. Encore faut-il que cette ligne ne soit pas exactement dans l’axe de la haie, ce qui n’est pas toujours l’œuvre du hasard. En effet, nous retrouvons souvent d’anciens talus judicieusement positionnés sur les lignes de nuisances : là où bêtes et humains n’avaient pas intérêt à séjourner. Aussi est-il prudent, avant d’implanter sa maison, de vérifier sur l’historique des cadastres, si un talus n’a pas été arasé à cet emplacement. Il est aussi prudent de faire appel à un professionnel, au ressenti exercé, pour positionner la construction sur la zone la plus favorable au vivant.
Des horticulteurs connaissent bien le développement d’oïdium qui peut toucher certains secteurs de la serre et pas d’autres. Jean UGUEN avait corrélé la survenue de cette maladie cryptogamique avec l’état d’antennes relais du quartier. Quand l’antenne était impactante : l’oïdium apparaissait. Antenne corrigée : pas d’apparition de l’oïdium (jusqu’aux modifications suivantes des fréquences ou d’intensité d’émission de l’antenne qui entraînait une nouvelle “poussée d’oïdium”).
Nous rappelons bien qu’il ne s’agit pas ici du faisceau rayonnant directement du haut de l’antenne, mais d’un phénomène passant dans le sol et perturbant les équilibres énergétiques naturels de la Terre.
D’autres plantes, au contraire, prolifèrent dans des zones très perturbées. Ces invasives, qui modifient parfois notre paysage, ont certainement leur rôle à jouer dans le rétablissement des équilibres de la terre et la coopération avec les espèces animales qui vivent à proximité.