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Précedent: Les dispositifs correcteurs

Pour ce faire, différentes méthodes sont utilisées par quelques scientifiques curieux, ouverts et aussi passionnés que rigoureux :

Il est délicat, mais possible, de visualiser l’action des dispositifs directement  sur de l’eau :

  • par cristallisation d’une solution saline
  • avec l’appareil Physioscan
  • avec un galvanomètre
  • en chromatographie

Nous sommes constitués principalement d’eau (70 % en masse – 99 % en nombre de molécules) ; aussi il est compréhensible que bon nombre de personnes sensibles expriment immédiatement leur différence de ressenti dès que les correcteurs  sont en place. Ce n’est cependant pas le cas de la majorité d’entre nous. En revanche,  différentes méthodes de diagnostic permettent de visualiser, quelque soit le ressenti, l’action des dispositifs sur les organismes :

  • l’appareil de Korotkov (Gas Discharge Visualisation)
  • des électrocardiogrammes
  • l’agencement spatial des globules rouges

Ces méthodes permettent de comparer l’état de la personne avant et quelques dizaines de minutes après la pose des dispositifs correcteurs sur le logement.

Dès l’amélioration du lieu, on peut visualiser une réaction des organismes. Cependant, des dérèglements physiologiques importants nécessiteront plusieurs semaines pour bénéficier des nouveaux équilibres favorables de l’environnement (le temps que les cellules des différents tissus se renouvellent avec cette nouvelle donne).

En élevage, où beaucoup de paramètres sont maitrisés, les analyses systématiques et les résultats chiffrés sur des cohortes d’animaux confortent nos démarches.