Pas du tout.
Cette idée vient du fait que les valeurs mesurées en v/m des champs électromagnétiques (en hyperfréquences) sont beaucoup plus faibles au pied de l’antenne ; tout comme le faisceau lumineux du phare nous passe au dessus de la tête quand nous sommes devant la porte.
Or, des problèmes de santé significatifs sont observés dans ces zones a priori préservées.
Il faut bien réaliser que ces valeurs mesurables sont responsables des effets thermiques, à très faibles distances et ne concernent quasiment que le personnel qui intervient sur ces équipements.
Les effets biologiques sont dus, eux, à des phénomènes qui passent par le sol, parfois sur des distances importantes (facilement 3 kilomètres et parfois beaucoup plus) : ce sont les champs de torsions.
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